De voir ma Douce endormie de tout son long.
Ne souhaitant la déranger de sitôt,
J'évita de changer la chambre en salon.
Décompressant de la journée,
Je l'observa dans son nid,
La voyant sur le nouvel oreiller,
En s'étalant sur tout le lit.
Puis vint le temps où l'appel de Morphée retenti,
Succombant à son appel, je décida de la rejoindre,
Confronté à l'oreiller, il a fallu le vaincre,
Pour dormir sans la réveiller, la ruse fut mon amie.
(Je sais, ça ne vaut rien en poésie, mais vous n'avez pas idée du travail que ça m'a demandé)
1 commentaire:
et ben tu as vraiment 2 neurones pour mettre dix plombés à pondre une daube pareille...
et puis révise tes conjugaisons parce que la ça craint vraiment.
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